La lanterne – cabane du lac

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Doussard, Faverges, France, 2016

Fabric’Arts – Festival des cabanes competition / RUNNER UP 

The imagination, storytelling, the refuge … Those words that are linked in the collective culture in shacks universe. They are places of quiet, breakaway where you spend a few minutes, a few hours out of the world to better reflect, observe and find in a slightly different way with a different perspective.

Our cabin is committed to enhance the privileged position of the «beach of Doussard» based on the elements that make this place a prime location and are summarized in its names «the end of the lake».

At night it is a lantern on stilts that appears, thanks to the street light around which it is built. The space between the roof and the walls allows light to filter and enlight the surroundings.

By day, the principle is reversed, the hut has no vocation to be seen, rather, it gives to see. Climbing a moment marks the beginning of a special time, reminiscent of imaginary childhood to everyone, but also the history of the place and the lake cities. Cut off from the world, in a refuge, above the treetops, visitors can arise, rest and also take the time to rediscover the incredible landscape that awaits them through a new frame.

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Doussard, Faverges, France, 2016

Concours Festival des cabanes / MENTION SPECIALE DU JURY

L’imaginaire, les contes, le refuge,… Autant de mots qui sont liés dans la culture collective à l’univers des cabanes. Elles sont des lieux de recueillement, d’échappée où l’on passe quelques minutes, quelques heures hors du monde pour mieux y réfléchir, l’observer et le retrouver, d’une façon légèrement différente avec un point de vue décalé, inhabituel.

Notre cabane s’attache à mettre en valeur la position privilégiée de la « plage de Doussard » en s’appuyant sur les élements qui font ce lieu et qui sont résumés par la toponymie de cet espace « Bout du Lac ». C’est un emplacement de choix, au bout du lac d’Annecy. La nuit, c’est une lanterne sur pilotis qui apparaît, grâce au lampadaire autour duquel elle est construire. L’espace entre le toit et les murs permet à la lumière de filtrer.

En journée, le principe s’inverse, la cabane n’a plus vocation à être vue, au contraire, elle donne à voir. S’élever quelques instants marque le début d’un moment privilégié, qui rappelle l’imaginaire de l’enfance à chacun, mais aussi l’histoire du lieu et des cités lacustres. Coupés du monde, dans un refuge, au dessus de la cîme des arbres, les visiteurs peuvent se poser, se reposer et aussi prendre le temps de redécouvrir le paysage incroyable qui s’offre à eux à travers un nouveau cadrage.

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